mercredi 2 novembre 2011

L'Europe à l'épreuve de la crise grecque

La France et l'Allemagne ont fait pression sur le Premier ministre grec George Papandréou afin d'obtenir une application rapide de l'accord du 26 octobre sur l'euro et la dette grecque.
"Moyennant un contrôle des finances grecques et des mesures d'austérité, les dirigeants de la zone euro ont accepté de prêter 130 milliards d'euros à la grèce et obtenu des créanciers privés qu'ils effacent 50% des quelque 210 milliards d'euros de titres grecs qu'ils détiennent...."
Les deux dirigeants se retrouveront mercredi à Cannes nous dit Capital.fr, au sommet du G20 pour une réunion avec les institutions européennes , le Fonds monétaire international (FMI) et George Papandreou, invité de dernière minute.
Le ministre de l'Agriculture Bruno Le Maire a déclaré que le référendum décidé par le président grec est dangereux pour son pays et l'ensemble de la zone euro.
En cas de rejet de l'accord lors du référendum, le président de l'Eurogroupe Jean-Claude Junker n'a pas exclu une faillite de la Grèce.
 La Chine espère la mise en place du plan de soutien à la Grèce et souhaite la stabilité de la zone euro et de l'euro a déclaré Hu Jintao à la veille de l'ouverture du sommet du G20 à Cannes.
L'Irlande, également sous perfusion de l'aide financière du FMI et de l'aide européenne a dénoncé l'initiative du Premier ministre grec.
Le sommet du G20 va s'ouvrir jeudi dans une situation d'incertitude après l'annonce du referendum en Grèce sur le plan européen décidé jeudi dernier.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire