De violents affrontements place Tahrir au Caire, le 21 novembre 2011. Ils ont fait 26 morts, une soixante de personnes suffoquaient par les gaz lacrymogènjes, des dizaines de blessés par des tirs de balles en plastique, souvent au visage.
nous informe Courrier International. Le gouvernement égyptien a annoncé sa démission au 3ème jour d'affrontements meurtriers opposant forces de l'ordre et manifestants qui réclament la fin du pouvoir militaire en Egypte. C'est l'ambiguïté de la révolution égyptienne : depuis le départ du président Moubarak en février, l'armée est demeurée au pouvoir. |
L'armée est en train de trahir la révolution, ils veulent tailler la Constitution sur mesure pour conserver le pouvoir clame un manifestant qui avait confiance en elle.
C'est une deuxième révolution qui vient de commencer, dit Shahira Moubarak, une enseignante, à l'AFP. Ailleurs dans le pays, police et manifestants s'opposaient à Alexandrie et Qena, Ismaïlya et Suez sur la mer Rouge et el-Arich dans le Sinaï.
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