Le Premier ministre grec organisera un référendum sur l'accord européen de la dette.
La Grèce connaît depuis des mois les pires crises économique, sociale et politique de son histoire, avec des grèves générales qui s'enchaînent.
Le choix du premier ministre grec, Georges Papandréou surprend.
"La volonté du peuple grec s'imposera à nous" a-t-il souligné.
S'agit-il d'une opération médiatique pour calmer la grogne sociale? la décision a surpris et la presse s'en fait l'echo.
Cette initiative est à haut risque et risque de mettre en péril le plan d'aide à la Grèce.
Les dirigeants européens avaient trouvé un accord avec les banques pour effacer une partie de la dette grecque.
Mais, sur le plan intérieur, la rigueur avec un renforcement des contrôles sur la politique budgétaire déplaît fortement et des manifestations de protestation se sont déroulées contre la politique d'austérité du gouvernement.
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