A Fukushima, des cérémonies de recueillement ont lieu dans la région du Tohoku, au nord est du pays,
ravagée il y a six mois par le séisme et le tsunami du 11 mars qui a fait quelque 20.000 morts et disparus :
à Sendai, Ishinomaki, Rikuzen Takata, Minamisoma ou encore Iwaki, les cités durement éprouvées par
le drame.
La centrale Fukushima Daiichi, située en bord de mer, comme tous les sites nucléaires japonais, fut en partie
noyée par les flots et subit les jours qui ont suivi, une série d'avaries ajoutant la menace de la pollution
radioactive à la douleur de la disparition d'un proche et la perte de tous ses biens.
"On ne peut pas empêcher la nature de se révolter, les séismes et tsunami de survenir, mais on aurait dû savoir éviter l'accident de Fukushima" regrette une habitante de Soma. (Radio Nederland)
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