La cyberguerre ? Ca fait des cybermorts.
Le (cyber)terrorisme est à la mode, mais n'existe pas.
L'article traduit en allemand : Cybertorrismus ; Eine Gefahr, die noch keine ist.
Le (cyber)terrorisme est à la mode, mais n'existe pas.
L'article traduit en allemand : Cybertorrismus ; Eine Gefahr, die noch keine ist.
Le cyberterrorisme est virtuel, la cyberguerre est en préparation :
l'art du piratage est enseigné dans les écoles d'ingénieurs, les universités.
La cyberguerre, la guerre via internet :
Tout d'un coup, les places financières, les banques, les transports sont paralysés.
Aucune puissance au monde n'est à l'abri d'une telle attaque qui ferait s'effondrer son
économie.
Les stratèges militaires de l'OTAN prennent conscience de la menace que constituent
les attaques en ligne. L'internet est devenu un nouveau champ de bataille.
La démonstration de force des Etats-Unis.
Washington investit des milliards de dollars. En annonçant qu'ils pourraient répondre
militairement à des cyberattaques, les Etats-Unis soulèvent plus de questions qu'ils
n'apportent de réponses.
Nous entrons bel et bien dans une nouvelle ère, celle de la cyberguerre. Les cyberattaques
se sont multipliées :
le piratage de comptes de Gmail, ...
les cyberattaques comme celles perpétrées contre Bercy,
WikiLeaks, une attaque qui a pour but d'espionner, de modifier à distance le système informatique. Bradley Manning était autorisé à avoir accès aux informations. Il n'y a pas eu
de piratage informatique, il a uniquement rendu publiques des informations classées
confidentielles portant un coup violent à l'administration américaine.
Le pays qui inquiète le plus Washington est la Chine.
Entre la Chine et les Etats-Unis, une rivalité sur le terrain d'internet.
La Chine a son propre ebay, avec alibaba.com, son google avec baidu.
La Chine a son propre ebay, avec alibaba.com, son google avec baidu.
La Chine compte plus d'internautes que les Etats-Unis.
Les cyberattaques sont classées dans la même catégorie que le terrorisme ou le nucléaire.
NouvelObs
"Sur le terrain de la cyberguerre, il va falloir maintenir des opérateurs de confiance, une
industrie de souveraineté " Nicolas Arpagian, auteur de "La guerre numérique a commencé"
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