c'est-à-dire au large des côtes.
La mer est une source inépuisable d'énergie :
vents, marées, courants, vagues sont des flux naturels que les hommes peuvent exploiter.
les hydroliennes : turbines sous-marines qui utilisent l'énergie
cinétique des courants marins ou des cours d'eau,
les éoliennes transforment l'énergie cinétique du vent en énergie mécanique puis cette énergie est elle même transformée en énergie électrique. Son ancêtre était le moulin à vent.
La puissance installée est de 6640 MW pour 4058 éoliennes,
ce qui représente 2,5% de la consommation française en 2011.
Les éoliennes se sont multipliées à terre, puis près des côtes mais
le futur de l'éolien sera offshore.
L'éolien va se jouer en mer.
Des turbines de plusieurs mégawatts vont commencer à émerger.
L'éolienne, c'est un mât étudié pour résister à la force des vagues
et du courant marin et qui peut être exposée à des cyclones.
Des rotors composés de plusieurs pales et le nez de l'éolienne fixé à la nacelle montée au sommet du mât.
Le raccordement électrique implique des câbles sous-marins.
On parle de ferme éolienne qui génère de l'électricité grâce à des aérogénérateurs.
Un appel d'offres pour la filière de l'éolien offshore
a été lancé en 2011 par le gouvernement français.
Le Grenelle vise une puissance de 6000 MW installée d'énergie éolienne offshore en 2020, soit 1200 éoliennes
pour 3,5% de la consommation française d'électricité.
Cinq sites accueilleront des parcs éoliens en France :
Saint-Brieuc, Courseulles, Fécamp et le Tréport.
Ces premières éoliennes seront installées en 2015
Au Japon, le ministère nippon ouvre également la voie à l'industrie des énergies renouvelables dans la région de Fukushima frappée par le tsunami et la catastrophe nucléaire et soutient le projet de ferme d'éoliennes flottantes.